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Danse-Rythme-thérapie

Je propose des ateliers et médiations thérapeutiques de danse-rythme-thérapie, se basant sur la technique de l'Expression Primitive.

Pour tout public et contexte:  enfants, adultes, associations et institutions. 

Je suis diplômé danse-thérapeute de l'Atelier du Geste Rythmé (France Schott-Bilmann, Paris), membre professionnel de la DRLST (Danse Rythme Lien Social et Thérapie) et membre associé de la SFDT Société Française de Danse-thérapie. 

Les mains en l'air
Pourquoi l'Expression Primitive?

Cette technique de danse, d’inspiration afro-américaine, construite sur les gestes et rythmes «premiers», «primitifs», tels que la pulsation -battement du cœur, du souffle respiratoire, de la marche-, constitue une sorte de tronc commun à toutes les danses rythmées, ainsi chacun, n’importe laquelle est sa culture, peut s’y retrouver.

L’Expression Primitive est une danse puissante, accessible et globale car elle associe la voix au mouvement. C’est aussi une danse poétique aux gestes symboliques, une danse conviviale, chaleureuse et ludique, qui redonne joie et confiance en soi, qui régularise l’humeur et qui, utilisée comme médiation, possède un grand pouvoir thérapeutique.[1]

Le terme « primitive » se réfère plutôt à tout ce qui est du primordial : le tambour rappelle le rythme cardiaque, la première musique que tout être humain à entendue dans le ventre de sa mère ; les mouvements opposés et accouplés reflètent la symétrie du corps humain et sa capacité à marcher sur deux pieds caractéristiques de l’Homme ; le balancement des mouvements rappelle également le souffle respiratoire entendu dans le ventre maternel en tant que première berceuse.

Cette danse met donc en scène ce qui est commun aux hommes du coté de leur origine : la structure profonde à partir de quoi se différencient les multiples formes de danses. De ce fait l’expression primitive se situe du coté d’une recherche de soi, une quête qui passe d’abord par la reconnaissance de l’appartenance à une essence collective : « l’individu ne peut trouver sa différence, que pour autant qu’il se découvre d’abord articulé au groupe humain par quelque chose partagé par tous les hommes »[2].

La symbolique des gestes est elle aussi universelle : les grands archétypes de l’histoire humaine sont utilisés (guerrier, féminité, les animaux, ..) et ceux-ci permettent même aux populations venant des cultures différentes de s’identifier et de se les approprier.

 

[1] Atelier du geste rythmé, Paris:  www.drlst.org

[2] Schott-Bilmann F., “Le primitivisme en danse”, La recherche en danse, Chiron, 1989, p.8

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